Bienvenue à Adopt4Life — l’association ontarienne
pour les parents adoptifs, les parents proches,
et les dispensateurs de soins
Adopt4Life, l’association ontarienne pour les parents adoptifs, les parents proches, les dispensateurs de soins et les personnes ayant la garde d’enfants, est une communauté de gens ayant une expérience personnelle de l’adoption. Sa mission consiste à fortifier et à outiller les parents et les dispensateurs de soins afin qu’ils puissent donner à leurs enfants la stabilité qui leur permettra de réaliser leur plein potentiel. Nous croyons que toutes les familles du milieu de l’adoption ont droit à la revendication, au soutien et à l’encadrement tout au long de leur parcours.
Adopt4Life aimerait remercier le Ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires de son investissement en faveur de la stabilité pour les familles adoptives, les parents proches et les personnes qui s’occupent habituellement des enfants, de même que pour sa compréhension de l’importance cruciale du réseau de soutien Parent2Parent. Nous sommes assurément plus fort ensemble.

À l’occasion du mois de la sensibilisation aux TSAF, je voulais prendre un moment pour partager mon histoire, une histoire dont peu de gens entendent parler.
L’ironie derrière cette idée ne passe pas inaperçue à la plupart des jeunes adoptés, et j’étais du lot. Ça devait être une blague parce que seuls les enfants « normaux » y avaient droit
Alors que nous continuons à travailler et à établir des partenariats en vue d’un effort canadien, tant à l’échelle provinciale que nationale, pour accroître la sensibilisation et la compréhension de cet enjeu, y compris concernant l’aide dont les familles et les enfants ont besoin pour guérir de ces traumatismes; il est important que nous (parents, professionnels, défenseurs, experts sur le terrain) travaillions tous ensemble pour faire évoluer le langage et les termes que nous utilisons.
Pensez au traumatisme que cette rencontre a pu ou pourrait avoir causé à mon aîné. Était-ce nécessaire? Est-ce que cela aurait pu être fait autrement?
« Vous risquez l’usure de compassion. »… Ils ont réduit ma capacité à aimer et à faire preuve d’empathie. Dans l’espoir de restaurer mon émotivité intérieure, je me suis bien entendu accrochée à toutes les suggestions de la responsable.
Tout ce que les gens veulent, c’est savoir qu’ils sont aimés et soutenus. Vous seriez surpris de voir jusqu’où on peut aller en sachant qu’on a quelqu’un de notre côté. Dans mon cas, ce « quelqu’un », c’est toute ma famille.
Nous croyons toujours profondément que l’exigence et l’urgence d’agir dans la lutte contre le racisme noir nous incombent à tous... et que nos actions collectives doivent s’étendre bien au-delà du Mois de l’histoire des Noirs.
Avant sa dernière infraction, il nous demandait encore si nous allions le reprendre « après le centre ». Que répondre à son enfant que nous avions toujours désiré et accompagné quand il est devenu si imprévisible?
CW… Certains diront que ce détail était superflu ou trop cru… Mais je suis là pour partager mon histoire.
Wébinaire au sujet du trauma et les stratégies pour mieux aider les enfants placés à développer leur pleine résilience.
Le Conseil d’adoption du Canada sera notre guide lors de cette discussion avec de jeunes leaders de partout au pays.
Joignez-vous à une discussion en direct avec des leaders de la protection de la jeunesse qui partageront leurs perceptions afin de nous aider à comprendre ce que signifie la permanence pour les enfants et les jeunes.
Joignez-vous à la Fondation du Nouveau-Brunswick pour l’adoption pour une discussion en temps réel sur la permanence vue par les yeux de jeunes qui en ont fait l’expérience. (FR)
En prenant une position ferme, nous voulons montrer notre volonté inébranlable de faire davantage que simplement exprimer notre soutien.
La Fédération des parents adoptants du Québec (FPAQ) a récemment soumis au gouvernement fédéral aux ministres Mendicino, Blair, & Champagne afin de souligner la problématique des parents jumelés à des enfants à l'étranger et leurs principales demandes à court terme pour réduire les obstacles pour lesquels le fédéral a le pouvoir d'agir.
Inquiets de la situation à laquelle feraient face 1200 jeunes dont le placement à la DPJ se termine au cours des prochaines semaines et qui présentent déjà de multiples facteurs de fragilité, des chercheurs réclament un moratoire sur les sorties de placement à la DPJ. Plusieurs provinces canadiennes ont d’ailleurs déjà fait des annonces en ce sens. Lire plus.
L’histoire de Jacques Proulx, un homme de 73 ans qui réside aujourd’hui en Saskatchewan, n’est pas banale. Après avoir cherché sa mère biologique pendant plus d’un demi-siècle, il a finalement appris son nom en décembre 2019, quelques mois seulement après son décès. Lire plus.
QUÉBEC — Le ministre du Travail, Jean Boulet, s’est incliné jeudi devant les familles adoptantes du Québec et leur a accordé le même nombre de semaines de congés parentaux qu’aux familles biologiques. Lire plus.
(Montréal) La « méconnaissance » du gouvernement est la seule hypothèse avancée par les organismes œuvrant dans le milieu de l’adoption pour expliquer son projet de loi sur le Régime québécois de l’assurance parentale. Lire plus.
« Notre aînée se plaignait à nous qu’elle allait “manquer de temps” parce qu’elle avait été trimballée de foyer d’accueil en foyer d’accueil pendant sept ans et qu’elle avait déjà onze ans en arrivant chez nous. » Lire plus.
« Dès que ma fille a commencé l’école, elle avait besoin de mon attention tous les jours. Toutes les occasions étaient bonnes pour me sauter sur les genoux. » Lire plus.
Nous avions une apparence et une odeur différentes, et parlions très peu mandarin. Nous l’avons sortie de l’orphelinat peu après avoir fait sa connaissance pour l’emmener à un hôtel où rien n’était pareil. Je n’ose imaginer à quel point cette situation a dû être épeurante pour elle. Lire plus.
Nous avons testé nos nouveaux parents pour voir s’ils nous aimaient vraiment, pour voir qu’est-ce qu’il faudrait faire pour qu’ils nous renvoient comme les autres l’avaient fait. Lire plus.
« Les crises de colère de notre fille ont été sans relâche pendant les six premiers mois d’école. Simplement repenser à tous ces pleurs et hurlements me fait toujours autant chavirer le cœur. » Lire plus.